L’arrêt doit être de courte durée et limité au temps nécessaire à la montée ou à la descente de passagers ou au chargement ou déchargement du véhicule.
Le véhicule est considéré en stationnement lorsqu’il est durablement immobilisé sur le bord de la chaussée ou sur l’accotement et que son conducteur s’en est éloigné.
En agglomération, sauf interdiction, garer son véhicule en bordure du trottoir de droite.
Allumer les feux de position lorsque le véhicule est stationné de nuit sur le bord d’une chaussée peu ou pas éclairée ou lorsque la visibilité est insuffisante en raison des conditions climatiques (pluie ou brouillard).
Respecter le marquage au sol lorsque les emplacements de stationnement sont matérialisés par des lignes blanches pointillées.
En présence d’un stationnement unilatéral alterné, stationner son véhicule du côté des nombres impairs entre le 1er et le 15 du mois et du côté pair entre le 16 et le dernier jour du mois.
Interdiction de stationner plus de 7 jours consécutifs au même endroit, à proximité d’une intersection, d’un virage, au sommet d’une côte, sur un pont ou un tunnel et sur les emplacements réservés à certaines catégories de véhicules (bus, taxis, etc.).
L’arrêt est toléré devant les sorties carrossées ou en double file s’il est de courte durée et ne gêne pas la circulation.